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Eglise Catholique Libérale

Paroisse Notre-Dame

Magog

Qui sommes-nous ?

      L’Église Catholique Libérale (l'ECL) n’est pas nouvelle. Avec une succession apostolique directe, elle s’établit en Angleterre en 1916 comme le résultat de la réorganisation de l’ancienne Église Vieille-Catholique de Grande-Bretagne. Sans dogmes et préférant une approche plutôt mystique, le mouvement s’étendit rapidement dans d’autres pays et adopta en 1918 son nom distinctif. L’ECL est indépendante de l’Eglise Romaine. L’organisation hiérarchique et le maintient de la liturgie et des canons est placée sous la responsabilité de l’entièreté du Synode Episcopal. Celui-ci élit pour une période déterminée un président. 

 

Bien que Catholique, elle reconnait la Sagesse se trouvant derrière tous les différents cultes et prône l’égalité des races et des sexes jusque dans l’ordination du son clergé (pouvant être homme ou femme, marié(e) ou non). Puisque l’ECL ne rémunère pas financièrement son clergé, les est appelé à exercer une fonction professionnelle à coté de leurs responsabilités cléricales. L’Église est active dans le monde entier. Elle n’est grande nulle part, mais grandit d’une façon constante en donnant la Communion à toute personne qui s’approche de l’autel avec sincérité de cœur. La liberté de pensée et le respect de l’interprétation individuelle d’autrui fait partie intégrale de son existence. C’est pour cela que la liturgie avec ses cérémonies et rituels garde une place très importante dans son existence, puisque c’est par le rituel que l’union de ses membres de pars le monde devient une réalité.

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La Paroisse Notre-Dame à Magog existe depuis 2002.

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Petite Histoire

 

       Au Canada, elle y fonctionne légalement comme un organisme de bienfaisance. Elle a été fondée en 1916, pendant la première guerre mondiale, par Mgr. Wedgwood. De pars ses fonctions, celui-ci dû voyager à plusieurs reprises de l'Angleterre vers l’Australie. Contraint par la guerre en Europe et la présence des sous-marins allemands, rendant les voyages par bateaux très dangereux, Mgr. Wedgwood préféra passer par les terres du Canada et des États-Unis, où il fonda les premières communautés.

 

Le 1 juillet 1946, Ernest Whitfield Jackson (1890-1982) fut consacré Évêque Régionnaire pour le Canada et en pris la responsabilité. Âgé de 87 ans, Mgr. Jackson démissionna le 30 avril 1977. Après son départ, le Canada se retrouva sous la juridiction d’un Évêque américain.

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En 1985, Mgr. Gerrit Munik, Régionnaire des Etats-Unis, demanda à Mgr. Maurice Warnon (un des rares Évêques francophones) de se rendre au Québec pour ordonner à la prêtrise le Rév. George Duguay. Pour faire suite à son voyage au Québec, en 1988, Mgr. Warnon fut nommé Évêque Commissionnaire du Canada et Régionnaire en 2004, ce qui redonna l’indépendance du Canada vis-à-vis des États-Unis.  En 2008, Mgr. Warnon quitta pour la Belgique et le Canada se retrouva une fois de plus sous la tutelle d’un Évêque américain. En 2018, Le Rév. Eric Archambault, canadien de naissance, devint Évêque Régionnaire du Canada et repris la charge administrative et ecclésiastique de la fonction.

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